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hommage  léo figuères

Hommage à

Léo FIGUERES

membre de notre association depuis sa fondation

est décédé le 1er août 2011 à 93 ans.
.
 
Une très émouvante cérémonie rassemblait ce samedi 10 septembre, sur la place centrale de Malakoff, une foule impressionnante. Elle était venue rendre hommage à celui qui, durant plus de trente années, fut le maire de la ville. Mais Léo, comme tous l'appelaient familièrement, fut pour nous, memebre de l'ACCA, bien plus que cela et pas seulement parce qu'il avait été l'un des premiers fondateurs de notre association. Léo était l'homme qui, plus que tout autre, symbolisait par sa vie même, par son engagement de tous les instants, le combat anticolonialiste et sa signification.
Il revenait à Henri Alleg, notre Président d'honneur de rappeler ces vérités que tous gardent en mémoire. Nous nous permettons aujourd'hui de citer quelques passages* de son intervention qui soulignait la profonde affection qui nous attachait et continue de nous attacher à

Léo, notre frère, notre camarade, qu'aucun de ceux qui l'on connu ne pourra jamais oublier.

                                                            Le bureau de l'ACCA

La municipalité de Malakoff dont il fut maire plus de 30 ans, les personnels municipaux, les habitants et de nombreuses personnalités  et associations lui ont rendu un Hommage public
samedi 10 septembre 2011

léo en visite à l'AAFV en mars 2004        
sur le site de l'A.A.F.V http://www.aafv.org/+Leo-Figuiere-nous-a-quitte+

quelques mots d'Alain RUSCIO
"Absent de Paris ce 10 septembre, je ne pourrai être parmi vous, afin de partager l’hommage respectueux et fraternel que vous vous apprêtez à donner à Léo Figuères. Croyez bien que le je le regrette car, comme vous tous, je lui étais très attaché.

 Pour moi, le nom de Léo Figuères évoque mes premières lectures de formation de jeune militant, avant 1968. Mais, surtout, au fur et à mesure que j’ai pris connaissance de sa biographie, il est devenu l’un des symboles de la solidarité du peuple français avec le Viêt Nam en lutte.../... cllquer ICI pour voir te complet.


    Nous lui rendons ici un premier hommage : quelques liens sur des articles publiés ces derniers jours sur internet, une photo de l'une de ces dernières conférences à Malakoff organisée significativement par le MJCF de la ville et une présentation de ses livres qu'il a tenu à écrire jusqu'au bout et que nous nous attacherons à faire connaître en premier lieu à nos adhérents.
    Nous avons reçu des témoignages d'amitié et de solidarité de la part de nombreux adhérents, camarades et amis, nous en publierons de larges extraits prochainement.

    Dans le carnet du quotidien "le midi libre" :
       - la famille : faire-part  remerciements
       - les organisations des Pyrénnées Orientales
   
    Dans son journal : l'Humanité et sur le blog de Patrick LE HYARIC

 Sur le site de la ville de Malakoff, le message de Catherine MARGATE, également pour le  groupe communiste du CG92.

Les mots de Catherine Margaté qui succéda à Léo Figuères à la Mairie de Malakoff au cours des obsèques le 5 août dans le cimetière de Los Masos.
        une info sur le site de la ville de Vanves  qui donne les liens sur les articles du journal
       Le Figaro et celui de  l'Humanité, puis du Nouvel Obs.
    L'annonce du quotidien OUEST-FRANCE.
    Et dans LE TRAVAILLEUR CATALAN qui a organisé fin juin sa fête annuelle.
    L'Indépendant (montpellier)
    D'autres quotidiens donnent l'information en quelques lignes...

       Plusieurs organisations (classement aléatoire)  :
       Le site officiel du PCF.
       Un responsable du PCF qui écrit avant de partir pour Perpignan à la cérémonie.
       Le responsable de la JC des Pyrennées Orientales après les obsèques.
       Des jeunes MJCF    JC92  UEC lille    JC62    JC64     JC59.   JC67
       et d'autres PCF15ème    section de Montrouge      (15èmeEl  Diablo   La Clau    Saint Quentin   Magnanville   Jarnisy54     Vive le pcf  Comité Valmy  section arcachon  pcf Arras  pcf Istres  Initiative communiste   Unité communiste  Camarade    et de très nombreuses organisations départementales ou locales qui reprennent les communiqués de leur direction nationale.       

        Le site Mémoire de la déportation  
Des sites spécialisés : http://deces-celebres.skynetblogs.be/archive/2011/08/03/leo-figueres-01-08-2011.html
http://www.wikio.fr/news/L%C3%A9opold+Figu%C3%A8res
http://www.jesuismort.com/biographie_celebrite_chercher/biographie-leo_figueres-15382.php
http://francaiscelebres.com/d%E9c%E9d%E9s%202011.html


       La biographie dans l'encyclopédie en ligne WIKIPEDIA, sur le blog d'un ami, et une autre         légèrement orientée et fort incomplète sur le site de l'assemblée nationale.
       Sur la page des éditions Le temps des cerises
       et sur le site de Livres Hebdo        et d'autres libraires
      
http://www.myboox.fr/actualite/leo-figueres-est-mort-8411.html
       http://www.librairiedialogues.fr/personne/leo-figueres/438600/

       La page de Léo chez son éditeur      
http://www.leofigueres.fr/      
         Son portrait par l'agence Despatin/Gobeli réalisé le 7 février 2008 à l'hotel de ville de malakoff et une petite vidéo tournée à cette occasion.

       
    Quelques titres parmi les nombreuses publications de Léo :
http://www.leofigueres.fr/publications.php
    Les adhérents de l'association peuvent commander tous les livres de Léo Figuères au siège national de celle-ci et notamment :

        - Capitalisme, socialisme(s), communisme
            Essai - Socialisme - Collection Blanche
            ISBN : 9782841098293 - 145 pages - Format : 140 x 200
            Paru le 15-05-2010 -     10 €

        - Passé et avenir d’une espérance
            Récit / Témoignage - Communisme -
            ISBN : 2-84109-045-0 - 156 pages - Format : 140 x 210
            Paru le 01-11-2001 - 10 €

          - Histoire des communistes français
            Essai - Communisme -
            ISBN : 2-84109-066-3 - 276 pages - Format : 140 x 210
            Paru le 01-09-2000 - 15 €

            - Communiste, une aventure militante
            Récit / Témoignage - Communisme -
            ISBN : 9782841093281 - 282 pages - Format : 140 x 210
            Paru le 01-03-1996 - 18 €

    Une table de littérature a été consacrée à Léo sur le stand de l'ACCA lors de la  fête de l'Humanité.
Nous y avons présenté un grand nombre d'ouvrages de notre camarade.

Nous avons bien conscience d'être très incomplets et nous remercions nos adhérents et amis qui nous adresserons des liens, textes, témoignages à l'adresse de l'association, sur son courriel ou celui du site. 
léo_jcmlk
Samedi 13 novembre 2010, Léo parmi les jeunes du MJCF à Malakoff.

Et pour revenir sur une rencontre avec Léo sur le thème
Le communisme, jeunesse du monde
le communisme, jeunesse du monde


Chers amis,
 Absent de Paris ce 10 septembre, je ne pourrai être parmi vous, afin de partager l’hommage respectueux et fraternel que vous vous apprêtez à donner à Léo Figuères. Croyez bien que le je le regrette car, comme vous tous, je lui étais très attaché.
 Pour moi, le nom de Léo Figuères évoque mes premières lectures de formation de jeune militant, avant 1968. Mais, surtout, au fur et à mesure que j’ai pris connaissance de sa biographie, il est devenu l’un des symboles de la solidarité du peuple français avec le Viêt Nam en lutte.
 Au nom de l’UJRF, Léo Figuères fit partie de la délégation des mouvements de jeunesse qui, lors de l’été 1946, rencontra le président Ho Chi Minh à Paris. Les espoirs de paix négociée étaient encore vifs, mais ils furent sabotés, on le sait, par le clan colonialiste chez les politiques et les militaires.
 Puis, alors que la guerre battait son plein, Léo partit en mission auprès des maquis de la Résistance vietnamienne, y rencontrant les principaux responsables de la lutte, Ho Chi Minh, puis le général Vo Nguyen Giap. C’est, une fois de plus, au nom de l’UJRF, dont il était devenu le Secrétaire général, qu’il accomplit cette mission. Mais chacun sait que son mandat portait bien au delà : Léo raconta, dans ses ouvrages, que Maurice Thorez l’avait chargé personnellement de signifier, au nom du PCF, la solidarité agissante et la confiance des communistes français.

Revenu en France, il publia de nombreux articles dans la presse (L’Avant-Garde, L’Humanité), puis rédigea un livre, Je reviens du Viêt Nam libre, qui constitua un support puissant de la lutte anticolonialiste alors en cours. Au lieu de saisir une occasion de renouer le dialogue et de parvenir à la paix, le gouvernement français poursuivit Léo, comme il le fit au même moment avec Raymonde Dien et Henri Martin. De ce fait, le dirigeant de l’UJRF fut contraint à la clandestinité.
Il fallut encore quatre années de sale guerre, avec un nombre incalculable de morts et de blessés, pour aboutir enfin à cette paix.
Le Viêt Nam aujourd’hui indépendant n’a pas oublié cette solidarité. La photo de Léo aux côtés du président Ho Chi Minh, dans les maquis, figure aujourd’hui encore en bonne place dans divers lieux du pays, en particulier au Musée Ho Chi Minh de Hanoi.
En ce moment où nous disons Adieu à Léo, il était utile de rappeler qu’il fut un ardent internationaliste.
Alain Ruscio
Historien
Président du Centre d’Information et de Documentation sur le Viêt Nam contemporain


Les mots de Catherine Margaté qui succéda à Léo Figuères à la Mairie de Malakoff au cours des obsèques le 5 août dans le cimetière de Los Masos.
"Chère Andrée,
Chers ami(e)s et camarades,
Léo nous a quittés lundi dernier, ici, en pays Catalan qu’il aimait tant. C’est une grande tristesse pour chacune et chacun d’entre nous, une immense peine pour Andrée et sa famille.
Après le choc, le chagrin, la première réaction des communistes, des habitants de Malakoff : Quelle belle vie !
Oui, une belle vie car parler de Léo Figuères, "Léo" comme l’appelaient ses amis, ses camarades, c’est évoquer le dirigeant de la Jeunesse communiste dans la Résistance, le militant anticolonial contre les guerres d’Indochine et d’Algérie, l’internationaliste, l’acteur éminent de tous les combats en France contre les inégalités.
Léo était pour les plus jeunes, une sorte de puits intarissable d’expériences et d’anecdotes, un personnage historique, une grande figure du combat pour l’émancipation humaine.
A Malakoff, où il fut Conseiller général de 1959 à 1995 et Maire de 1965 à 1996, il laisse une empreinte indélébile.
Celle d’un homme, riche d’expériences avec une histoire extraordinaire, profondément attaché à son idéal qu’il avait à cœur de partager avec ses contemporains et de transmettre aux plus jeunes pour lesquels il était toujours soucieux de leur avenir.
Celle d’un homme passionné par la vie politique. Toujours sur la brèche, au fait de tous les débats du moment, fervent défenseur de son journal l’Humanité.
D’un homme d’action, soutenant les travailleurs en lutte à Malakoff et ailleurs, agissant pour le logement, la défense du service public pour que tous les Malakoffiots, quel que soit le niveau de ressources, disposent du meilleur, pour l’enfance, la jeunesse, pour la défense de l’école publique, défendant la paix, la tolérance, la fraternité... des actions et des valeurs qui continuent d’être le fil rouge des équipes municipales qui se sont succédées.
Celle d’un homme de rassemblement et d’union. Léo a su associer les énergies, ouvrant les équipes municipales à toutes les sensibilités de progrès. Avec 75% des  suffrages, ce qui représentait un progrès de plus de 20% par rapport à l’élection précédente, la première liste d’union, élue en 1965, a donné corps à la vie démocratique locale, permettant aux habitants et aux acteurs locaux d’être au cœur des débats et des décisions.
Léo, c’était aussi un homme chaleureux ! Sa gouaille, ses plaisanteries, sa voix rocailleuse, ses tapes amicales nous manqueront.
Il était proche et disponible pour ses concitoyens, les hommes, les femmes, les jeunes de Malakoff. Ecoutant les avis des uns et des autres, attentif et exigeant pour ses collaborateurs et collaboratrices du personnel communal, sachant valoriser le travail accompli, prendre les décisions indispensables, convaincre. Il était attentif aux joies et aux peines de tous et toutes.

Avec toi Léo, pendant 31 ans, comme tu l’as dit toi-même en me passant le relais, «Malakoff s’est transformé profondément sans perdre ni son caractère, ni son âme ».
Ce furent le nouvel Hôtel de Ville, la Maison des Syndicats et des Associations, le stade nautique intercommunal, le Théâtre 71, la salle des Fêtes, l’action contre la désindustrialisation et pour le maintien de l’équilibre de la ville entre logements, équipements publics, activités et espaces verts, l’action pour maintenir un habitat diversifié face aux promoteurs, pour les transports en commun, la couverture du périphérique...
Nouveaux habitants ou depuis toujours à Malakoff, ils sont nombreux à apprécier la
dimension humaine de notre ville, le caractère diversifié de son habitat, la convivialité qui y existe – tout ce qui fait cet aspect "village" que beaucoup nous envient.  Le dire, ici, peut paraître « banal » mais à Malakoff, ville située en bordure de Paris et du périphérique, nous y sommes profondément attachés.
Nombreux aussi apprécient la facilité de contact avec le Maire, les élus, l’esprit d’ouverture et de dialogue. Tout cela, ce n’est pas le hasard, c’est bien le résultat d’orientations, de choix de gestion que Léo a initiés, au jour le jour.
Malakoff garde de Léo, cette image d’un Maire passionné qui a su conduire sa Ville avec beaucoup de conscience et de discernement, de dévouement et d’honnêteté, de dynamisme.
Son exemple a été pour de nombreux élus et de maires, une référence dans l’exercice de leur mission d’élu. Car, au-delà de l’importance des réalisations, je voudrais saluer la vision d’avenir qui s’est attachée à maîtriser le développement urbain, à moderniser l’ensemble de la ville, malgré les difficultés et les obstacles de toute nature.
Il faut avoir vu et entendu Léo plaider notre cause avec fougue auprès des pouvoirs publics ou des administrations, pour être persuadé qu’un maire combatif, dynamique,
est un atout majeur pour une cité.
Il faut l’avoir vu, intraitable, défendre en tant que Conseiller général, auprès du Président du Conseil Général, du Préfet des Hauts de Seine, les intérêts de sa ville, défendre les acquis des travailleurs du département.
Il imposait le respect à nos pires adversaires. Nombreux, ici, se souviennent avec quelle verve, il défendit les Renaults, en lutte contre la dénationalisation de leur entreprise. Des moments forts qu’il a souvent partagés, en duo avec Guy Ducoloné,  son ami, son complice de toujours.
Il faut l’avoir vu animer avec détermination les campagnes électorales, les municipales, les législatives, contribuant de belle façon à l’élection de Janine Jambu qui fut notre Députée et Maire de Bagneux, avant Marie Hélène Amiable, Janine dont je salue la présence.
Permettez-moi un mot plus personnel pour dire toute l’affection que je porte à Léo qui a su si bien passer le relais à l’équipe municipale que j’anime aujourd’hui, si bien tisser les liens de complicité entre les deux maires successifs. Il a su nous faire confiance, de cette confiance qui donne du cœur à l’ouvrage.

Solidarité, Combativité, Démocratie continuent, aujourd’hui, de guider l’action des élus ; action soutenue par de nombreux Malakoffiots conscients que, dans le combat national et international pour transformer la société, les constructions et les réalisations locales sont utiles quand elles sont fondées sur la solidarité, le progrès social pour tous et l’amélioration des conditions de vie de chacun.
C’est peu de dire que la forte personnalité de Léo Figuères marqua et continue de marquer « sa ville ».
Nous sommes fiers que Malakoff ait été dirigée par un tel homme de cœur, de conviction, de lutte, de culture. C’était un dévoreur de livres comme nous l’a confié Andrée, un amateur éclairé de cinéma.
Sa ville lui rendra hommage début septembre.
Je voudrais dire à Andrée qui a accompagné Léo dans les jours heureux et les jours difficiles, à la militante communiste, la responsable d’association, proche et appréciée des habitants de son quartier, notre amie, la profonde émotion qui parcourt notre ville depuis l’annonce de la disparition de Léo ; Te dire toute notre amitié, ainsi qu’à tes enfants, petits-enfants et arrières petits-enfants dont Léo était si fier et si heureux.
Car Léo, était un père très attentif, très aimant pour ses enfants Jean Pierre, Gilles, Claudine, Françoise, un grand-père très fier et très proches des ses petits enfants Sonia, Fabien, Jérôme, Lauriane, Guillaume, Benoît, Julie, Alexis, et de ses arrières petits-enfants.
Nous savons que pour toi Andrée, pour tous les vôtres, cette perte est immense. Dans
ces moments de douleur, nos pensées vont vers vous. Nous partageons votre chagrin
et vous assurons de toute notre affection.
Adieu Léo, Adieu camarade."



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Agir  Contre le Colonialisme Aujourd'hui

 ex-Association des Combattants de la  Cause Anticoloniale

Fondée en 1985 comme une Amicale, l'ACCA devient association en 1996. Elle diversifie ses activités, élargit le cercle de ses adhérents et amis.  Dans le même temps, elle multiplie ses interventions, ses campagnes, ses mobilisations, ses publications. Elle prend toute sa place dans le combat anticolonialiste en France et dans le monde.

L'association a pour but de dénoncer  les méfaits du colonialisme ancien ainsi que les tentatives plus récentes de recolonisation du monde, par l'agression économique, culturelle et militaire.

Dans ce cadre, elle agit dans les domaines suivants :

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L'anticolonialisme n'est pas qu' affaire d'anciens commbattants.

    Certes, l'éloge qu'on voit ressurgir aujourd'hui de la colonisation se rapporte à l'histoire.
    Au terme d'une vie consacrée à la lutte contre la colonisation, je ne peux pas dire le contraire.
    Venu en Afrique comme professeur au lycée de Dakar en 1946, mon intention était de poursuivre le combat mené quatre années durant dans la résistance pour l a Libération de la France, en combattant pour la Libération de l'Afrique du régime colonial. Cette position m'a valu une carrière chaotique, deux thèses commencées et abandonnées en raisons "d'accidents de parcours", et une troisième, soutenue l'année de mon départ à la retraite.  Rien de comparable à ce qu'ont subi d'autres anticolonialistes contemporains, la prison, la torture et parfois la mort.
    L'anticolonialisme est le fait , certes, de ceux qui ont combattu pour lui. Mais c'est toujours un combat d'actualilté.  Pas seulement face aux apologistes de la colonisation qui ressurgissent aujourd'hui, tenants d'une nouvelle forme de révisionnisme. Tous les gouvernements depuis les "indépendances", ont poursuivi, sous des formes nouvelles -celles du néo-colonialisme-, la politique coloniale de leurs devanciers. Ils ont soutenu et soutiennent, quand ils ne les ont pas imposés, les régimes les plus barbares et les plus corrompus, qui ont, à leurs yeux une vertu : ils défendent les intérêts du capitalisme français et international (mondialisation oblige !).
    Je renvoie pour information aux ouvrages du regretté François-Xavier Verschaeve, dénonciateur inlassable de la "Françafrique".
    Le combat anticolonialiste reste un combat contemporain.
Jean Suret-Canale in Agir (mars 2006).

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