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Page spéciale GAZA

Israël réclame un statut de quasi membre de l’Union Européenne
Jean Paul LE MAREC in Rouge Midi
En avril 2002, la majorité du Parlement européen avait relayé la demande des associations de soutien au peuple palestinien en adoptant une résolution pour la suspension de l’accord de coopération entre l’Union européenne et Israël en application de la clause "droits de l’homme" de cet accord. L’objectif de ce vote était de faire pression sur le gouvernement israélien pour qu’il respecte ses engagements et se conforme aux lois internationales et aux droits de l’homme. Ni le Conseil des ministres, ni la Commission européenne n’avaient voulu appliquer cette décision pour ne pas mécontenter Israël. (lire la suite...)



ironwall

La Plateforme des ONG françaises pour la Palestine a le plaisir de vous annoncer la sortie de la version française du documentaire "Iron Wall". Ce documentaire de 52 minutes a été réalisé par Mohammed Alatar et produit par le Palestinian Agricultural Relief Committees.

"Iron Wall" décrit l’évolution de la colonisation des Territoires palestiniens sous les différents gouvernements israéliens depuis 1967 jusqu’à la construction du Mur. Il donne la parole à des responsables associatifs, paysans, militants pour la paix, journalistes, soldats… israéliens et palestiniens. Le réalisateur Mohammed Alatar a pris soin dans ce documentaire de fournir une description précise et très pédagogique d’une politique qui constitue un des principaux obstacles à la paix.

Le Monde diplomatique décrit Iron Wall comme « le meilleur film sur la colonisation israélienne dans les territoires occupés. Iron Wall retrace l’histoire de la colonisation israélienne depuis 1967, montrant notamment son accélération depuis les accords d’Oslo et, plus récemment, à l’ombre du mur. Pour expliquer des images aussi fortes, souvent violentes, il fallait beaucoup de pédagogie : c’est le rôle du commentaire, retenu, et des interviews d’Israéliens et de Palestiniens – personnalités ou hommes et femmes de la rue ».

Le documentaire est à votre disposition au prix de 15 euros, frais de port compris, auprès de la Plateforme des ONG françaises pour la Palestine.


Iron Wall

Palestine – 2006 – 52 minutes – Couleur – Langues : Français/Anglais

Traduction/doublage : PAJU (Palestiniens et Juifs Unis) – Québec

Distribution : Plateforme des ONG françaises pour la Palestine

www.plateforme-palestine.org

- Y aura-t-il un état palestinien ? Face à face Régis Debray/ LeÎdal Shahid
-  Palestine, 60 ans après : le partage ou la paix.  SALINGUE Pierre-Yves
- Israel-Palestine : Anatomie d’un conflit irrésolu par nature. ATZMON Gilad

Bienvenue au pays du coucou !
Israel-Palestine : Anatomie d’un conflit irrésolu par nature.

ATZMON Gilad in www.legrandsoir.info
 
"(...) la possibilité de transformer de la douleur et du sang en cash est au cœur du rêve trompeur israélien (...) Etre maître de naissance, cela conduit à l’absence de « mécanisme de reconnaissance ». Inévitablement, cela conduit à la cécité. "
D’après Hegel, l’atteinte de la « conscience de soi » est un processus qui implique nécessairement l’autre. Comment puis-je devenir conscient de moi-même, de manière générale ? Ce n’est qu’à travers le désir ou la colère, par exemple. A la différence des animaux, qui dépassent leurs besoins biologiques en détruisant d’autres entités organiques, le désir humain est un désir de reconnaissance.
En termes hégéliens, la reconnaissance s’effectue lorsqu’on se tourne vers un non-être, c’est-à-dire vers un autre désir, vers un autre vide, vers un autre « moi ». C’est quelque chose qui ne peut être totalement accomplie. « L’homme qui désire quelque chose humainement n’agit point tant pour la posséder que pour faire en sorte qu’autrui reconnaisse son droit. C’est seulement le désir d’une telle reconnaissance, c’est seulement l’action qui découle d’un tel désir, qui crée, réalise et révèle un moi humain, non-biologique. » [Kojeve A., Introduction to the Reading of Hegel, 1947, Cornell University Press, 1993, p. 40]. Selon cette orientation de la pensée hégélienne, on doit être confronté à l’autre pour développer la conscience de soi, il faut être placé face à autrui. Si une entité biologique lutte afin d’assurer sa continuité biologique, l’être humain se bat afin d’être reconnu.
Pour mieux comprendre les implications pratiques de cette idée, examinons la « dialectique du maître et de l’esclave ». Le maître est nommé le maître parce qu’il s’efforce de prouver sa supériorité sur la nature et sur l’esclave, qui est contraint à le reconnaître pour maître.  lire la suite

"Paix comme Palestine" ?
Palestine, 60 ans après : le partage ou la paix.
   
SALINGUE Pierre-Yves   in  w.legrandsoir.info
 
Un mouvement anticolonial soutient la lutte de libération menée par le peuple opprimé pour mettre fin à l’occupation et pour pouvoir user de son droit à disposer de lui-même.
Ce n’est pas une « question complexe »   C’est une position anti-impérialiste élémentaire.
Pour tous ceux qui refusent l’injustice subie par le peuple palestinien, 2008 aurait pu être l’occasion de relancer une mobilisation essoufflée par le sentiment d’impuissance provoqué par la dégradation dramatique de la situation des Palestiniens.
Non qu’il y ait quoi que ce soit à « célébrer » en 2008 et surtout pas la proclamation de l’Etat d’Israël, cette étape essentielle du nettoyage ethnique de la Palestine.
Mais, 60 ans après la Naqba, quelles que soient la noirceur du tableau et l’ampleur de la tragédie palestinienne actuelle, les militants engagés dans le soutien à la lutte du Peuple palestinien ont constaté un changement, encore hésitant mais prometteur, dans le camp palestinien.  lire la suite

palestine

Y aura-t-il un état palestinien ?

Dans L’Humanité des débats du samedi 26 avril, face-à-face Leïla Shahid, déléguée générale de la Palestine auprès de l’Union européenne et Régis Debray, écrivain, médiologue.

Soumises à la pression militaire permanente d’Israël, les bases physiques, économiques et humaines d’un État palestinien sont en voie de disparition. Y a-t-il encore une place en Palestine pour un État palestinien ? C’est sur cette question paradoxale que se penchent nos deux invités, Leïla Shahid, représentante de l’Autorité palestinienne à Bruxelles, et Régis Debray, écrivain et médiologue (1). Il n’a pas oublié qu’il fut philosophe et a intitulé son dernier livre Un candide en Terre sainte (2).

Il le dédie à la fois à son vieil ami François Maspero, qui lui a donné l’idée de ce reportage « sur les pas de Jésus », et à Jacques Chirac, qui lui avait confié la mission délicate d’étudier « les coexistences ethnico-religieuses » au Proche-Orient. Régis Debray, en quête des Évangiles et de la Palestine, n’en a retrouvé que des évocations. Les uns estompés par le temps, l’autre fracassée par l’occupation et la colonisation. Il a fait le constat de l’effacement progressif, inexorable, du territoire de ce qui devrait être un jour la Palestine. Alors que cette année doit être, si l’on en croit M. Bush, celle de la création de l’État palestinien promis par l’ONU en 1947.

Alors que le mouvement sioniste, lui, a concrétisé sa promesse et fêtera en mai les soixante ans d’Israël. Le printemps pour Israël, l’hiver de la « Nakba » pour les Palestiniens.

Régis Debray, quand on referme Un candide en Terre sainte, on n’est pas loin du désespoir absolu en ce qui concerne l’avenir de la Palestine. De votre voyage d’étude sur les lieux - effectué en 2006 à la demande de Jacques Chirac -, vous rapportez un constat implacable : « Les bases physiques, économiques et humaines d’un État palestinien sont en voie de disparition. » Vous dites aussi que dès 1938 « l’administration britannique avait constaté l’impossibilité de créer en Palestine deux États, un juif, un arabe ». Alors, toutes ces luttes, ces plans de paix, tout ça pour rien ? Et est-ce que Leila Shahid, qui représente la Palestine à Bruxelles, est d’accord avec ce diagnostic ?

Régis Debray. Dans la Fêlure, Scott Fitzgerald dit : « On devrait pouvoir comprendre que les choses sont sans espoir et cependant être décidé à les changer. » C’est vrai, en cet endroit que je redécouvrais après quelques années avec l’analyse des cartes précises dues au travail remarquable des géographes des Nations unies, l’OCHAA, j’ai constaté l’application d’un programme qui s’exécute, sans fanfare ni journalistes, et qui consiste...lire la suite


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